L'adoption simple confère le nom de l'adoptant à l'adopté en l'ajoutant au nom de ce dernier. Toutefois, si l'adopté est majeur, il doit consentir à cette adjonction. Si l’adopté n’a pas consenti à l’adjonction, il est parfaitement logique que l’enfant puisse garder son nom d’origine. Les juges de la cour d’appel de Montpellier dans un arrêt rendu le 1er octobre 2015. N° n° 14/08995 sont de cet avis.